Elle longe le chemin clair aux abords fleuris
Les fleurs roses, mauves, blanches, fushias,
Enchantent son âme, son coeur et son odorat
Par les senteurs mêlées. Sous un arbre, à l’abri
Des rayons du soleil ardent, elle fait une pause.
Lentement elle reprend sa route, because
La lumière est au bout du pays de l’éternel.
Un homme passe et cueille une délicate fleur,
Son geste est précis, calme, serein, solennel,
Du bout des doigts il pose son trésor naturel
Sur la chevelure auburn de sa femme bonheur.
Il l’attendait depuis douze longues années
Et dans ce lieu azuré, aux nuages nacrés, dorés,
Il l’accueille enfin en tout humilité et sérénité.
Les fleurs roses, mauves, blanches, fushias,
Enchantent son âme, son coeur et son odorat
Par les senteurs mêlées. Sous un arbre, à l’abri
Des rayons du soleil ardent, elle fait une pause.
Lentement elle reprend sa route, because
La lumière est au bout du pays de l’éternel.
Un homme passe et cueille une délicate fleur,
Son geste est précis, calme, serein, solennel,
Du bout des doigts il pose son trésor naturel
Sur la chevelure auburn de sa femme bonheur.
Il l’attendait depuis douze longues années
Et dans ce lieu azuré, aux nuages nacrés, dorés,
Il l’accueille enfin en tout humilité et sérénité.
(Violette W-R le 22 04 2008 - en hommage à mes parents disparus en 1986 et 1998 dont le 67 ème anniversaire de mariagne serait le 26 avril 2008).
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