Dans
la chambre en pénombre
Lentement
s’agitent les ombres.
Lune
ronde, pleine et gibbeuse
Irréelle,
argentée, ensorceleuse,
Eclaire
faiblement par instants
La
nudité des corps des amants.
Sur
draps blanc dame frissonne
Sous
douces caresses friponnes
De
l’homme resserrant étreinte
Laissant
à jamais son empreinte
Sur
le corps de la femme aimée
Sous
lui librement abandonné.
W-R Violette le 29 janvier 2013
Pleine lune, dimanche.
RépondreSupprimerElle était magnifique !
Bisous :!
Oui c'était dimanche
SupprimerToujours l'appareil prêt à fonctionner!
Bisous
La lune aphrodisiaque c'est bien possible.
RépondreSupprimerIl parait qu'elle l'est...
SupprimerBisous
Douce lune inspiratrice de tant de beaux vers!
RépondreSupprimerAmitié
Antonio
Tout est matière à poésie avec un peu d'imagination.
SupprimerBisous
La lune a inspiré beaucoup de poète, tu a ta place parmi eux
RépondreSupprimerMerci Dame mauve et bispous
Merci du compliment
SupprimerGros bisous
la lune là est bien curieuse mais que d'écrits sur elle
RépondreSupprimerOui chacun y va de sa version
Supprimerbisous
Très jolie poème, Violette ! La pleine lune m'éméerveille toujours. Bisous
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