20 juillet 2008

Retour dans le passé...


          Je me sens d'humeur chagrine en cet instant précis. Je viens de relire mon journal, pour continuer ma biographie, et des évènements très pénibles ont refait surface. Je pensais être suffisamment forte pour les relire mais non... 
          D'abord est arrivée la mélancolie, la morosité puis une profonde tristesse qui m'a tiré des larmes. Je pensais avoir sincèrement pardonné et je m'aperçois qu'en lisant ces lignes j'étais toujours en colère. En colère davantage contre moi qui ressentais la catastrophe comme toujours mais qui refusait de le croire, jusqu'à ce que cette femme se trouve devant moi à deux heures du matin! Oh bien sur, ce ne fut qu'un accroc dans le contrat comme disent les hommes, une erreur de parcours sans conséquence... Faux... Les conséquences sont toujours existantes mais juste pour moi... Cela fait plus de vingt ans! Etrange destin qui fait et défait sans demander l'avis des protagonistes...

5 commentaires:

  1. ton oiseau est magnifique splendide bravo violette une superbe réussite gros bisous didier

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  2. Merci beaucoup Violette pour ton petit mot si gentil . Gros bisous .
    Liza

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  3. Merci beaucoup Liza et Didier de vos passages sur mes blogs. J'essaie de les tenir tous à jour et cela prend du temps. Je termine donc par celui-ci aujourd'hui en vous souhaitant une bonne nuit. Bises. Violette

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  4. Chère Violette...Vous lire est infinement touchant, le pardon ?
    Qu'est ce que le pardon ? Ce n'est en aucun cas l'oubli...Ce dont nous souffrons dans nos implacables névroses est justement de l'impossible oubli. Sysiphe que nous sommes ! Oublier n'est pas possible, on ne peut oublier ce qu'il faudrait ou vaudrait mieux oublier.
    Le pardon peut il se faire sans oubli ?
    Difficile, dure discipline que celle ci..Alors qu'est ce que par donner ? Donner par ? Mais pas quoi ? Au delà de l'impossible oublie qui réveille sans cesse la douleur et la souffrance qui font que notre symptôme est là ?
    Traumatisme, cicatrice indélébile, plaie qui se referme mais pas complétement...Difficilement, laissant à la souffrance de quoi s'engouffrer, pour justement l'oublie ne soit pas possible.
    Je vous embrasse
    Castor

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  5. Castor merci de ton passage et de ton point de vue. Un très bon dimanche. Bises. Violette

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