Souvent l’on entend que les hommes de la cinquantaine
Sont submergés par ce que tous nomment « le démon du midi »
Qu’en est-il donc du désir de la femme de la soixantaine ?
Est-elle moins attirante parce les rides ensoleillent son visage,
Entourent ses yeux d’une expression semblant plus sage ?
Qu’importe son corps moins parfait qu’à l’adolescence,
Son esprit est le même tout comme son impatience
A rendre heureux l’homme qu’elle aime avec confiance.
Elle a bien des fois pardonné, soulagé des consciences
Et mis au placard des regrets nuls et sans importance
Qui dans les méandres d’un fleuve non tranquille
Ont très souvent douloureusement bouleversé sa vie.
N’a t-elle donc plus le droit aux gestes, aux attentions
Qui feraient d’elle une femme comblée sans prétention ?
Réfléchissez messieurs qui pensez que la femme vieillie
Dans votre foyer ne mérite plus la faveur de vos envies.
Regardez-la avec les yeux d’autrefois, avec votre amour
Et demandez-vous qui resterait près de vous toujours.
Que donc vous rapporte l’éternelle course aux galipettes
Si ce ne n’est des désirs du moment ponctués de sornettes
Qui vous lasseront comme de navrantes amusettes.
Sont submergés par ce que tous nomment « le démon du midi »
Qu’en est-il donc du désir de la femme de la soixantaine ?
Est-elle moins attirante parce les rides ensoleillent son visage,
Entourent ses yeux d’une expression semblant plus sage ?
Qu’importe son corps moins parfait qu’à l’adolescence,
Son esprit est le même tout comme son impatience
A rendre heureux l’homme qu’elle aime avec confiance.
Elle a bien des fois pardonné, soulagé des consciences
Et mis au placard des regrets nuls et sans importance
Qui dans les méandres d’un fleuve non tranquille
Ont très souvent douloureusement bouleversé sa vie.
N’a t-elle donc plus le droit aux gestes, aux attentions
Qui feraient d’elle une femme comblée sans prétention ?
Réfléchissez messieurs qui pensez que la femme vieillie
Dans votre foyer ne mérite plus la faveur de vos envies.
Regardez-la avec les yeux d’autrefois, avec votre amour
Et demandez-vous qui resterait près de vous toujours.
Que donc vous rapporte l’éternelle course aux galipettes
Si ce ne n’est des désirs du moment ponctués de sornettes
Qui vous lasseront comme de navrantes amusettes.
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