La dame au doux nom de fleur décide de
s’évader
De l’engrenage du quotidien de ses journées
De l’engrenage du quotidien de ses journées
En apaisant son esprit et ses négatives
pensées,
Langoureusement allongée à l’écoute de Ketelbey.
Langoureusement allongée à l’écoute de Ketelbey.
« Sur un marché Persan » sans hâte elle se promène,
Oubliant son corps que le temps trop vite malmène
.Une incursion brève dans
« Le jardin du Monastère »
La plonge profondément dans le monde du mystère.
La plonge profondément dans le monde du mystère.
La dame de pourpre continue par « L’Egypte Mystique »
Convenant fort à propos son âme d’éternelle romantique.
Ni le temps, ni les aléas
du destin ni les peines de coeur
N’ont effacé de sa mémoire ses véritables vitaux bonheurs.
N’ont effacé de sa mémoire ses véritables vitaux bonheurs.
« Les cloches à travers la prairie » la situent ailleurs,
Dans son enfance, dans le passé où ses malheurs
De pastel étaient parés
grâce à l’aide de son père,
Et qui, par enchantement, en devenaient éphémères.
Et qui, par enchantement, en devenaient éphémères.
« Les eaux bleues d’Hawaï », dans un azur décor
Au souvenir de son père sont associées encore
.Il rêvait de ce pays aux rythmes
typiques en jouant
Sur sa mandoline des airs à son esprit affluant.
Sur sa mandoline des airs à son esprit affluant.
Le voyage sonore sur la géographie musicale
Lentement prend fin et la dame sentimentale
A ce grand musicien anglais de nom : Ketelbey.
W-R Violette le 10 mars 2013
bon dimanche
RépondreSupprimerMerci Khanel
Supprimerje viens de m'apercevoir que je ne t'ai pas inscrite dans mes blogs amis dans la colonne de droite et qui me permettrai de voir tes derniers articles.
Je fais de suite.
Bisous
un dimanche qui s'ouvre en musique est un dimanche prometteur !
RépondreSupprimerbelle journée Violette,
(merci pour tes commentaires)
J'aime la musique classique, cela m'apaise, me fait rêver et me remémore le passé.
SupprimerBisous
bonne semaine
RépondreSupprimerElle est plus fraîche que celle passée.
SupprimerBisous