Harry Potter, ce petit garçon avec sa baguette magique qui évolue dans un univers extraordinaire attire les lecteurs de tous âges, enfants et adultes.
Le premier tome comporte des phrases très courtes à la portée du jeune lecteur et ensuite l’écriture évolue en même temps que l’âge du protagoniste.
Du premier ouvrage de 300 pages au dernier de 800 pages, les lecteurs ne se sont pas lassé de l’histoire, cet immense puzzle dont l’auteur remplit tous les blancs des autres tomes dans le manuscrit final.
Le succès de cet ouvrage, outre un très bon marketing qui ne fait pas forcément lire, réside dans le mélange de tous les genres, univers magique mais aussi formidable ouvrage sur l’éducation, contre le racisme etc…Les personnages, à qui beaucoup peuvent s’identifier car la psychologie des protagonistes est souvent la nôtre, évoluent dans un monde dense et complexe, notre monde mais avec des mots inventés et des sites fictifs attirant l’attention.
J.K Rowling a redonné à la lecture ses lettres de noblesse car avec le progrès informatique, les jeux vidéos, les jeunes ne lisaient plus guère et maintenant les voilà tombés dans la marmite de Harry Potter au point de passer une partie de la nuit à attendre la sortie du septième manuscrit.
Bravo !
Good words.
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